Saveur anale
-----------------------------------
… Il n’y avait pas d’ascenseur, il portait chaque soir son lot quotidien de bière jusqu’à sa chambre au deuxième étage de l’hôtel, rue Biot, près de la place Clichy.
Un soir, au moment où il entamait son deuxième pack de Kanterbraü, l’on frappa à sa porte.
— Ouvrez s’il vous plaît ! vite ! ouvrez !
C’était une voix féminine, ahurie...
Il ouvrit : une jeune femme tremblait nue, blême, échevelée. Elle entra prestement sans rien dire et refermant la porte poussa un soupir de soulagement.
Devant Vlanck elle se tenait debout, cheveux foncés, teint opalescent, bouche lippue, grands yeux sombres, mascara liquéfié en grosses larmes noires s’écoulant sur sa blanche nudité. Vlanck retourna à son fauteuil et à ses bières, tandis qu’avec son ample chevelure elle s’essuyait les seins aspergés de rimmel lacrymal. Ayant cessé de larmoyer, les yeux scintillants elle le regarda fixement un moment, avança mollement roulant les hanches, et, s’asseyant sur le lit écarta les jambes, exhibant sa chatte touffue, finement fendue.
Il s’envoya une bonne goulée de bière, et, sans mot dire, impassiblement il sortit son vit, de sorte que la nana frétillant des gambettes se mit à mouiller, émue de zyeuter un si bel estoc tout roide pointant vers le plafond.
— Branle-toi, lui dit-il.
Tétant sa bière il savourait le spectacle.
Les yeux rivés sur la pine, le désir de la nana enflait en nappes de voracité trémulée.
Elle glissa sa main entre ses cuisses, et un petit râle affleura dans sa gorge.
La mutité glacée de Vlanck exacerbait sa fébrilité.
Guiboles bringuebalant et doigts s’activant crescendo sur la vulve, elle haletait, et ses grosses mèches sombres retombaient sur ses yeux révulsés.
Il tétait sa bière.
Elle poussa un long gémissement viscéral s’étiolant en brefs gargouillis râlés s’éteignant.
— Viens ! gémit-elle... baise-moi !... viens me baiser...
Il décapsula une bière, et, s’ébranlant vers le lit, calmement il murmura :
— Mets-toi à plat ventre...
Elle obéit : ses fesses étaient pures, exquises. Il les considéra un moment en avalant de larges lampées de bière, puis, du bout de la langue il se mit à goûter délicatement la fesse, percevant longuement la tendre rotondité, sa plénitude veloutée et la succulence de la chair, suave saveur animale... la raie, duvetée, un petit peu salée... l’arôme est de plus en plus corsé, tout à fait fauve autour de l’orifice...
Il poussa la langue dans le fion et une explosion de lumière se fit en lui.
Redressant le buste il planta le braquemart. L’illumination n’ayant duré qu’un frêle instant, il restait la sodomie, nette, crue, s’épaississant dans la lenteur brutale de l’étroitesse enfournée. ...
Extrait de
Un soir, au moment où il entamait son deuxième pack de Kanterbraü, l’on frappa à sa porte.
— Ouvrez s’il vous plaît ! vite ! ouvrez !
C’était une voix féminine, ahurie...
Il ouvrit : une jeune femme tremblait nue, blême, échevelée. Elle entra prestement sans rien dire et refermant la porte poussa un soupir de soulagement.
Devant Vlanck elle se tenait debout, cheveux foncés, teint opalescent, bouche lippue, grands yeux sombres, mascara liquéfié en grosses larmes noires s’écoulant sur sa blanche nudité. Vlanck retourna à son fauteuil et à ses bières, tandis qu’avec son ample chevelure elle s’essuyait les seins aspergés de rimmel lacrymal. Ayant cessé de larmoyer, les yeux scintillants elle le regarda fixement un moment, avança mollement roulant les hanches, et, s’asseyant sur le lit écarta les jambes, exhibant sa chatte touffue, finement fendue.
Il s’envoya une bonne goulée de bière, et, sans mot dire, impassiblement il sortit son vit, de sorte que la nana frétillant des gambettes se mit à mouiller, émue de zyeuter un si bel estoc tout roide pointant vers le plafond.
— Branle-toi, lui dit-il.
Tétant sa bière il savourait le spectacle.
Les yeux rivés sur la pine, le désir de la nana enflait en nappes de voracité trémulée.
Elle glissa sa main entre ses cuisses, et un petit râle affleura dans sa gorge.
La mutité glacée de Vlanck exacerbait sa fébrilité.
Guiboles bringuebalant et doigts s’activant crescendo sur la vulve, elle haletait, et ses grosses mèches sombres retombaient sur ses yeux révulsés.
Il tétait sa bière.
Elle poussa un long gémissement viscéral s’étiolant en brefs gargouillis râlés s’éteignant.
— Viens ! gémit-elle... baise-moi !... viens me baiser...
Il décapsula une bière, et, s’ébranlant vers le lit, calmement il murmura :
— Mets-toi à plat ventre...
Elle obéit : ses fesses étaient pures, exquises. Il les considéra un moment en avalant de larges lampées de bière, puis, du bout de la langue il se mit à goûter délicatement la fesse, percevant longuement la tendre rotondité, sa plénitude veloutée et la succulence de la chair, suave saveur animale... la raie, duvetée, un petit peu salée... l’arôme est de plus en plus corsé, tout à fait fauve autour de l’orifice...
Il poussa la langue dans le fion et une explosion de lumière se fit en lui.
Redressant le buste il planta le braquemart. L’illumination n’ayant duré qu’un frêle instant, il restait la sodomie, nette, crue, s’épaississant dans la lenteur brutale de l’étroitesse enfournée. ...
Extrait de
Disponible ici :
Commentaires
Enregistrer un commentaire