Viscères et cyber nichons
------------------------------------ D'un coup de hache, Vlanck, zombie virtuel ossifié, fracasse le melon vespéral qui crachote son suc dans la fraîche gueule du soir. Églantine harnachée d’un gode d’acier défonce la gorge à son porc qui trémule en enculant sa poupée androïde aux seins cryptés. L’angoisse sensorielle s’épand le long des connexions matinales de boyaux effarés. Google s’est glissé dans les tièdes replis de ta merde, titillant les infimes recoins d’intimes frayeurs, tout au fond de tes tripes ahuries… pendant que Facebook enconne la moelle de ta vie. La connexion se délite, se délabre, pue la mort, et injecte sa fièvre pixellisée dans les boyaux de la crève globale. Le cancer digital s’insinue dans le flux anal. Et Google vomit le vide de son foutre noir dans la putréfaction binaire du désir décapité. — Sur Google-Image les gros nichons te mèneront à l’algorithme de ton propre cadavre. Boyaux. Côtes brisées. Œsophage troué crachant le sang dan